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Friday, December 6, 2013

Univers lunetier créatif d'exception

DITA (Californie, États-Unis)


Liés depuis l’enfance, les californiens Jeff Solorio et John Juniper créent la très sélect et pointue Maison Dita en 1996, date à laquelle ils présentent leur première collection emprunte d’esprit vintage inspiré des années ’50 à ’80. Très vite cette marque devient l’un des labels le plus trendy et sélectif du monde de l’optique. Réputée pour ses montures en acétate, titane ou or 18 carats, les montures sont « designées » à Los Angeles et fabriquées à la main au Japon. La marque est aujourd’hui plébiscitée par de nombreuses stars outre-Atlantique comme Brad Pitt, Penelope Cruz, Leny Kravitz…


THOM BROWNE (NY, États-Unis)


Originaire de Pennsylvanie, Thom Browne crée sa marque en 2004 à New York. Deux ans plus tard, il est nommé « Styliste pour homme de l’année » et est reconnu en 2011 comme le designer le plus influent de la mode homme. Célèbre pour ses défilés inattendus, extravagants et spectaculaires, il collabore également avec de grandes marques comme MONCLER dont il assure la création pour la Gamme Bleu Homme. C’est la Maison Dita qui édite depuis 2010, son exclusive collection de lunettes de vue et solaires, mix entre « preppy » et « steampunk », inspirée des créatifs, politiciens, architectes des années ’40, ’50, ’60. Savoir-faire et excellence pour ces montures assemblées à la main au Japon, alliant matériaux précieux et techniques comme le titane, l’acétate, la corne, le cuir. Qu’elle soit en acétate à l’image de celle que portait Arthur Miller ou de style glacier, aux branches courbées avec protection de cuir au coin des verres, chaque paire est frappée des fameuses bandes tricolores rouge, blanc, bleu, signature emblématique du designer.
 
 
THIERRY LASRY (Paris, France)
 
 
Né d’une mère styliste et d’un père opticien, Thierry Lasry crée sa marque de lunettes solaires en 2006. Passionné par les années ’80, il se plait à décrire son style comme « futuriste vintage » ou comment combiner habilement un style rétro à des détails et finitions volontairement modernes voire futuristes. La plupart de ses créations est en acétate principalement déclinée en noir ou dans des couleurs translucides avec des ajouts de dentelle, écaille naturelle, métal doré. Le logo pour un maximum de discrétion se trouve gravé à l’intérieur des branches. Thierry Lasry revendique haut et fort un savoir-faire lunetier et le label made in France. Ses collections remportent un vif succès de par le monde en particulier à Hollywood où Madona, Dita Von Teese, Jessica Alba s’arrachent ses modèles.
 
 
MYKITA (Berlin, Allemagne)
 
 
Mykita est une marque de lunettes de vue et solaires créée en 2003 par 4 jeunes berlinois : Harald Gottschling, Philippe Haffmans, Daniel Haffmans et Moritz Kruega. L’univers de marque est un mélange de design industriel et d’élégance poétique, de sophistication esthétique et de technicité extrême. Mykita réalise dans leur atelier de Berlin, des montures étonnantes en acier chirurgical ultra souple et léger. Débarrassées de jointures, un système de charnière sans vis permet aux montures d’être modelées à même le visage garantissant ainsi un confort de port absolu. Mykita s’impose aujourd’hui parmi les marques les plus créatives et innovantes du moment. Elle réalise de nombreuses collaborations dans l’univers de la mode notamment avec Damir Doma.
 
 
LUCAS DE STAËL (Paris, France)
 
 
Petit-fils du peintre Nicolas de Staël, Lucas de Staël est sans nul doute l’un des designers de lunettes le plus talentueux et créatif de sa génération. Un génie inventif surfant entre prouesses techniques et savoir-faire artisanal. En 2011, il lance sa marque définissant le principe même de la haute lunetterie. Dans son atelier parisien, véritable laboratoire de recherches et d’expérimentation, inventant le made in Paris, il met au point et fabrique à la main des montures d’une prouesse technique étonnante. Les lunettes de sa collection 2nd Skin en est l’un des meilleurs exemples. Façonnées en cuir pleine peau à la façon du plus bel objet de maroquinerie et grâce à un procédé savant d’inclusion d’une lame d’acier invisible, il crée des montures d’un seul tenant sans couture ni charnière, ne mettant en valeur que la matière brute. Lucas de Staël est également réputé pour ses créations en marqueterie de bois ou qui allient l’acier avec le bois ou le cuir.
 
 
ROLF (Tyrol, Autriche)
 
 
C’est au coeur des montagnes tyroliennes que l’entreprise familiale Rolf fabrique des montures de lunettes en bois. Faites à la main, elles se distinguent par leur légèreté et leur grande qualité. Rolf se démarque par une parfaite maîtrise technique : de la conception à la fabrication, l’entreprise a su développer les technologies nécessaires à la réalisation de leurs idées. L’une de leur prouesse réside notamment dans la production de lunettes galbées entièrement en bois. La précision du détail et l’usage audacieux de nouvelles techniques font de chaque monture Rolf une pièce unique.
 
 
LINDBERG (Danemark)
 
 
Après avoir ouvert son premier magasin d’optique au Danemark en 1969, Poul-Jorn Lindberg lance sa marque éponyme en 1989 et se fait connaître comme d’un des spécialistes des lunettes en métal, ultra légères pesant de moins de 20 grammes, au design minimaliste. Les fameuses lunettes Air Titanium deviennent l’emblème de son style. En 2011, la marque étoffe son offre de lunettes haut de gamme en proposant des modèles qui combinent une face en corne de buffle et branches en titane. Luxe extrême pour cette marque qui signe également des lunettes joaillerie en or jaune 18 carats et brillants
 
Pour de plus amples informations, merci de consulter:
 
 
Carlotti
L’ALCHIMISTE DE L’ALLURE
UN UNIVERS LUNETIER CRÉATIF
22, RUE CAMBON – PARIS 1er
 
+33 1 42 60 02 19 // Lundi ˃ Samedi - 10H00 ˃ 19H00
 

Carlotti



L’ALCHIMISTE DE L’ALLURE OUVERTURE D’UN UNIVERS LUNETIER D’EXCEPTION ET CRÉATIF 22, RUE CAMBON - PARIS

À Paris, dans l’une des rues les plus mythiques de la mode, 22, rue Cambon, au coeur d’un tournoiement international, Valérie Carlotti crée un univers lunetier d’exception. Un écrin précieux, résolument contemporain, ne ressemblant à aucun autre.
 
Décembre 2013 // À Paris, dans l’une des rues les plus mythiques de la mode, 22, rue Cambon, au coeur d’un tournoiement international, Valérie Carlotti crée un univers lunetier d’exception. Un écrin précieux, résolument contemporain, ne ressemblant à aucun autre, loin des espaces impersonnels.

Ici, c’est l’idée même du salon qui est privilégiée mettant en scène autour de l’intimité et de l’objet rare, l’échange, l’écoute, le conseil. Le luxe y est aussi revendiqué. Mais c’est ce luxe discret, élégant, élitiste qui offre le temps pour soi, d’apprécier le bel ouvrage, de retrouver le plaisir de choisir.
Guidée par sa seule passion, Valérie Carlotti sait mieux que quiconque dénicher les talents. Faisant du « no logo » son fer de lance, elle provoque les rencontres avec des Créateurs animés de passion, aux multiples savoir-faire et débusque les orfèvres qui polissent la corne ou façonnent le bois. Intuitive, elle chasse de savants alchimistes qui transforment l’acétate en poudre, rendent le titane léger comme un souffle, font disparaître comme par magie vis et charnières. A l’affût, elle recherche l’exclusivité chez ces designers qui transcendent en or et diamants l’accessoire de mode pour le rendre essentiel.
Dans son écrin de la rue Cambon, imaginé avec l’architecte Véronique Laurent, rien n’est laissé au hasard et l’univers s’exprime autour du seul objet lunettes. Derrière l’élégante façade noire, tout est merveilleusement pensé. On joue à fond le côté luxueux des matières et les aspects techniques pour un rendu en parfaite cohérence avec l’objet. Des niches telles des boites à secret percent les murs où, simplement posées sur des feuilles de verre, les lunettes semblent flotter comme en lévitation. Pour le décor, bêton ciré anthracite, velours de soie vert absinthe ou bleu glacier. Au plafond, des volutes sculptent la lumière qui se reflète dans du métal griffé.
Dans cet univers art de vivre, Valérie Carlotti met en place un cérémonial inspiré de celui de la joaillerie, digne d’une cérémonie du thé. Un parcours initiatique où le modus operandi commence sur une table de cuir irisé. A la faveur d’un miroir lumineux – pour oublier les ombres – dans le huis clos luxueux d’une conversation intime, des opticiens décryptent, au-delà de leurs compétences techniques, habitudes, gouts et mode de vie de leurs clients afin de les accompagner avec attention et exigence au plus près de leurs désirs. Telles des parures, les lunettes apparaissent, portées en gant noir, sur plateau de velours ; jamais plus de cinq paires à la fois. L’aspect technologique est primordial également. Sélection scrupuleuse et taille ultra précise des verres au sein de l’atelier maison, perfection et réglages au millimètre des montures participent pleinement à cet accompagnement sur mesure.
S’arrêter 22, rue Cambon, est une vraie expérience, celle du plaisir retrouvé, de l’harmonie, de la découverte, de la beauté. CARLOTTI crée aujourd’hui une nouvelle façon d’envisager les lunettes, une certaine idée de l’ALLURE.